Publireportage : Les écoles Salim, pour une bonne éducation de la jeunesse

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Créées depuis le 28 mai 2008, les écoles Salim ont obtenu l’arrêté d’ouverture une semaine après la création nous explique Fofana Alseny ex proviseur « l’école évolue dans la commune de Matoto à Dar-Es-Salam 1. Au début ce n’était pas facile car nous travaillons en collaboration avec L’ONG Wontanara qui a son à siège en Europe. Aujourd’hui nous avons plus de 332 élèves adoptés. A ce jour l’école regroupe plus de 2 337 élèves dont 1 232 filles. La première année de l’ouverture on n’avait pas de lycée mais nous avons présenté 19 candidats en 6ème année et ils ont tous eu l’examen. De succès en succès nous avons pu installer Salim1, 2, 3. L’année 2017 nous avons obtenu 100% dans les classes d’expérimentale, dans les autres options nous avons eu plus 80% à 89% » argumente-t-il. En ce qui concerne la mensualité le proviseur confirme qu’ils ont tenu compte du milieu dans lequel ils sont implantés car selon lui c’est dans un milieu pauvre, ce qui a d’ailleurs augmenté leur chiffre d’affaire « chez nous les révisions sont gratuites. La terminale c’est à 150.000 fg or, avec les écoles qui sont dans l’entourage la terminale est à 180 .000 fg. En plus chez Salim, aucun élève ne rentre sans passer par un test sauf ceux qui sont admis dans les classes d’examen, quant aux parents nous avons un cahier où ils signent un engagement d’accompagner les professeurs dans le suivi des élèves. Après deux mois, chaque parent d’élève doit se présenter à l’école et puis nous avons des carnets de notes de chaque élève dans lequel chaque parents d’élève doit signer pour apprécier, ces carnets sont ramenés à l’école par les parents pour éviter toute confusion et s’ils ne se présentent pas on est obligé de renvoyer l’élève pour leurs dire qu’à Salim c’est la rigueur » ajoute–t-il. Bien que l’école fourni d’effort pour rehausser le niveau des élèves, elle est en manque criard de documents « nous avons demandé de l’aide à l’Etat pour une assistance mais ils (les autorités) disent que c’est une école privée, ils oublient que ce sont les mêmes enfants de la Guinée et c’est le même enseignement. Nous avons aussi fait appel à l’Harmattan Guinée mais nous n’avons pas eu de réponse nous avons même aménagé un lieu à Salim 2 pour que si on reçoit des dons de livres qu’on puisse les classer. En un mot même la commune de Matoto n’a pas de bibliothèque alors que nous sommes dans le projet : ‘’Conakry capitale mondiale du livre’’ mais on ne sent rien et cela devait se sentir à travers les écoles » dénonce-t-il. Les élèves de cet établissement se disent satisfaits de la prestation de l’école comme le confirme Sylla Mohamed élève en terminale sciences maths « par rapport aux cours qui sont dispensés ici je peux dire que le niveau de compréhension est à 75% en ce qui concerne les professeurs je confirme qu’ils font partir des meilleurs » témoigne-t-il. L’un des professeurs de français du lycée Salim a de son côté donné son opinion sur les relations entre élèves et encadreurs « concernant les relations entre les élèves et nous, je peux vous dire que la Direction accompagne les professeurs et si un élève se permet de dire que c’est l’argent de mon père chose qui se dit souvent par les élèves des écoles privées on essaie de lui faire comprendre que l’argent ne peut pas donner l’éducation mais il paie celui qui donne l’éducation » notifie-t-il.

 

Fatoumata Binta Baldé

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